Santé/Sexualité

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Le rapport de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) tombé hier fait grand bruit. Et pour cause : Il valide ce que de nombreux experts craignaient depuis des années. Fumer de la viande rouge ou de la charcuterie a des effets cancérogènes, que ce soit soit sous forme de cigarette, bourré dans une pipe ou même de manière électronique (du jus de viande à la place du e-liquide).

Chez les consommateurs réguliers la nouvelle a provoqué la consternation. « Après une bonne raclette j’adore fumer une tranche de grison ou m’allumer une pipe au saucisson, mais tout ça c’est fini » déplore ce Savoyard de 34 ans. Même son de cloche pour cette jeune parisienne de 22 ans : « Avant de sortir en boite, avec les copines, on aime se rouler un bon steack tartare et se le faire tourner ou se jeter un petit bang-paupiette. On pensait que c’était plus sain que la gandja… On va faire quoi maintenant ? ».

« J’arrête le spliff-rillette aujourd’hui. »

Aucune recommendation n’a été faite concernant la viande casher ou hallal, souvent fumée sous forme de résine de graisse.

Une bonne nouvelle toutefois, l’étude de l’OMS maintient que la viande blanche peut toujours se fumer en toute sécurité. Vous pourrez toujours vous griller votre petite roulée de peau de poulet avec le café du dimanche midi.

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L’information, publiée par le site de rencontres faciles outre-atlantique letsmeat.com, remet sérieusement en question la croyance populaire selon laquelle les « tatoués » seraient plus masculins et « performants » que la moyenne. Interrogées via un questionnaire en ligne de 82 questions, plus de 3500 utilisatrices ont anonymement évalué les partenaires rencontrés sur le site selon des critères variés, allant de leur « romantisme » à leurs « capacités sous la couette », en passant par métier ou hobbies.

Parmi les découvertes les plus fascinantes, ont apprend (entre autres) que :

  • Les hommes chauves ou dégarnis cuisinent mieux que les autres ;
  • Les hommes les plus sportifs sont les moins romantiques ;
  • Les hommes de très petite taille excellent dans tout ce qui est « préliminaires » ;
  • Les hommes travaillant dans le domaine commercial sont les plus jaloux ;
  • Les hommes aimant le piment sont les moins précoces ;
  • Les hommes tatoués « assurent » bien moins que la moyenne

Un phénomène de compensation

Les tatouages de super-héro ne font pas exception
Les tatouages de super-héro ne font pas exception

Interrogée par téléphone, la directrice de la communication de letsmeat.com Sandy Plohm explique : « Il existe un phénomène de compensation, un homme sûr de ses capacités ne ressent pas le besoin de se tatouer un énorme dragon dans le dos, une tête de mort dans le cou ou des chaînes sur les biceps ».

Ainsi, la virilité des hommes tatoués serait liée au motif choisi et de l’emplacement du tatouage (une autre question du sondage en ligne). Résultat : Les tatouages au niveau des bras seraient un excellent indicateur d’une sexualité pauvre et anémique. A contrario, un tatouage au niveau de la cheville ne serait d’aucune utilité pour évaluer la virilité de son porteur.

Entre tigre et poney

Si l’on en croit les conclusions du sondage en ligne, les pires motifs pour un tatouage masculin, ceux qui permettent de détecter le « mauvais coup », sont aussi les motifs les plus agressifs et dominateurs : Lions, tigres, armes, couteaux, chaînes, dragons, etc. Les écritures ésotériques quant à elles évoqueraient plutôt un manque de confiance de type intellectuel et sont écartées de ces résultats.

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« touriste de merde je t’ai niqué » tatoué en caractères chinois

« Un gars avec une panthère sur le bras ou un requin sur le torse aura l’air super cool quand vous le ramènerez dans votre groupe de copines,  mais une fois au lit, je vous conseille d’emmener un bon bouquin » résume la directrice, qui a également participé à l’analyse des données.

A l’opposé, et c’est une surprise, il existe des tatouages ayant l’effet inverses, des tatouages qui indiquent avec une grande probabilité la présence d’un amant d’exception« Si vous voyez un poney sur sa photo de profil, enfin un tatouage de poney je veux dire [rires, ndlr;], foncez ! D’après nos statistiques vous ne serez pas déçues. Il s’agit d’un homme qui n’a pas peur des normes sociales et doué d’une grande sensibilité. Même chose pour les papillons, le portrait de sa maman ou le Dalaï Lama ».

Fuir les « parties » tatouées

Là, on ne parle même plus de performances, mais de sécurité selon Sandy Plohm : « S’il s’est tatoué une fusée, un double-décimètre, une seringue, des croquettes en trompe-l’œil ou encore un niveau à bulle sur la verge, alors il vous faudra trouver une porte de sortie très rapidement. Dans le meilleur des cas il est un peu hors-normes, dans le pire des cas c’est un psychopathe ».

Et les femmes tatouées dans tout ça ?

Bien que le sondage concernait exclusivement la perception qu’ont les femmes des hommes tatoués, Sandy Plohm a tout de même son idée bien arrêtée sur la question : « Les filles tatouées sont des bons coups, tout simplement ».

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Une équipe de chercheurs du CNRM (Centre National de Recherches Météorologiques) vient de rendre publique une étude selon laquelle votre cousine chaudasse serait responsable de l’actuelle canicule, qui touche de nombreuses régions françaises. Par sa température corporelle élevée d’une part, et les effets cumulés de ses tenues exagérément suggestives sur la population masculine, votre cousine délurée est donc, selon les scientifiques, responsable de l’élévation anormale et durable des températures en France.

Selon Julien Rouillet, directeur de recherche au CNRM et responsable de l’étude, votre nympho de cousine pourrait, à terme, contribuer au réchauffement climatique et à l’élévation globale des températures sur Terre : « Si votre allumeuse de cousine ne se calme pas bientôt en se mettant un coup d’extincteur dans la culotte, si jamais elle en porte, des millions de mètres-cubes de banquise vont disparaître, entraînant la disparition de milliers de pingouins » prévient-il.

Une crainte partagée par Bruno Chamol, spécialiste de la chaudasse en milieu urbain : « Chaque jour, votre bombasse de cousine chauffe en moyenne 6400 hommes, de part ses nombreux déplacements urbains et ses tenues attirant l’œil de loin. A raison de 120 watts de chaleur en plus par personne, ce sont 384 kilo-watts produits chaque jour, soit l’énergie produite par l’explosion d’une petite bombe atomique » affirme l’expert, en sueur.

Dans leur rapport, les chercheurs du CNRM alertent également le lecteur sur les dangers à venir, dont le plus important : votre future bombe de petite sœur. « Pour le moment ça va » rassure le document en page 311, « mais dans 2 ou 3 ans, lorsque votre bombasse de petite sœur réalisera le pouvoir et le potentiel qu’elle possède, elle se mettra à les exploiter comme votre tentatrice de cousine et les répercussion climatiques seront terribles, proches de la vague de chaleur dévastatrice qui avait jadis frappé l’hexagone lorsque votre maman avait acheté sa première jupe ».

Illustration : Bob Suir sur Flickr

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Le burne-out (parfois épelé burne-août) fait chaque été en France plusieurs milliers de victimes, le plus souvent des hommes. Mal connu, parfois sous-estimé, le burne-out peut pourtant avoir des conséquences dramatiques à l’ère des réseaux sociaux et de l’omniprésence des appareil photos connectés.

« Sur le moment, un burne-out est généralement pris avec légèreté, la victime n’imagine pas les conséquences émotionnelles qui peuvent suivre » explique Bruno Chamol, médecin des vacances et spécialiste du burne-out. « J’ai vu des vies brisées par un burne-out. Certains hommes ne s’en remettent jamais vraiment. La solution est dans la prévention » ajoute-il.

« Je l’ai quitté le soir même »

Aurélie était en vacances avec son compagnon Stéphane lorsque, de retour de baignade, ce dernier a été victime d’un burne-out éphémère mais prononcé. En quelques heures seulement, des photographies se répandent parmi les connaissances personnelles et professionnelles du jeune homme, détruisant ainsi son image et sa réputation. « Je l’ai quitté le soir même » confie Aurélie, son ex-compagne. « Ayant été témoin de son burne-out, je savais que je n’aurais jamais pu le regarder de la même manière ».

Alors quelles sont les méthodes préventives pour éviter un burne-out cet été ? Selon les experts, la méthode la plus sûre est d’éviter les vacances. Si vous partez tout de même, privilégiez les pays froids où la température découragera toute idée de baignade. Enfin, testez toujours chez vous, dans les conditions les plus réelles possibles et devant une caméra ou un témoin, les maillots de bain et autres vêtements que vous emmènerez dans votre valise cet été.

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« Testeur de préservatifs en condition réelles »

L’annonce ci-dessous, publiée ce lundi sur le site de recherche d’emploi « SouffleJob.fr », a recueilli pas moins de 185 214 dossiers de candidatures et cela à peine 24 heures après sa publication. Et pour cause : Émanant de la marque numéro 1 de préservatifs « Durex », l’offre propose des conditions de « travail » qui feraient rêver plus d’un homme.

Voici l’annonce en question :


 

imagesType : CDI – Région parisienne

Intitulé du poste : Product Quality Assurance Technician

Résumé : Le pôle « Intensive Testing » du département R&D de Durex France recherche un technicien testeur masculin motivé, dynamique et endurant pour la validation en conditions réelles des derniers prototypes de la marque.

Votre mission

  • Vous participez à la définition et à la validation des scénarios de test.
  • En collaboration rapprochée avec notre équipe internationale de plus de 60 testeuses, vous mettrez à l’épreuve les derniers prototypes de préservatifs et de gels intimes issus du département R&D dans des conditions réalistes et variées.
  • Vous déroulez le cahier de recette : systématique et patient vous réalisez les tests tels que convenus.
  • Vous participez à la rédaction des rapports de testing, support vidéo à l’appui.
  • Vous effectuez une veille active sur le Web (nouvelles pratiques, tendances, témoignages, feedback produits, etc.)
  • Vous voyagez occasionnellement pour tester nos produits dans des conditions variées (environnement maritime, haute altitude, plages, etc.)

Votre profil : 

  • Curieux, vous vous appropriez le fonctionnel produit et comprenez rapidement les objectifs attendus.
  • Méticuleux, vous identifiez les tests permettant de bien valider le fonctionnement du produit.
  • Téméraire, vous n’êtes pas rebutés par des pratiques inhabituelles ou pouvant être considérées comme « extrêmes » ou peu naturelles.
  • Endurant, vous pouvez mener des tests exigeants pendant des durées conséquentes.
  • Votre hygiène irréprochable sera fortement appréciée au sein de l’équipe de testeuses.
  • Courtois et délicat, vous saurez rester professionnel en toute circonstance.

Compétences & formation :

  • Vous disposez d’un niveau Bac ou supérieur.
  • Vos mesures sont dans la moyenne nationale.
  • La pratique de la langue anglaise est souhaitée.

Rémunération : Selon expérience (de 34 K€ à 55 K€) + tickets restaurants, véhicule de fonction « Durex »

Contact : Envoyez CV, lettre de motivation, références et photos variées à *********@*********.fr


Contacté par téléphone, le directeur des ressources humaines de Durex France, Jean-Philippe Herbien, se dit ravi de l’engouement suscité par ce poste mais prévient tout de même : « Nous ne proposons malheureusement qu’un seul CDI de testeur pour le moment. De plus, les entretiens que nous ferons passer n’inclurons pas de mises en situation pratiques, nous aurions probablement dû le préciser ».

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LE CAP, Afrique du Sud – D’après des sources proches du Service de Chirurgie Reconstructive de l’hôpital Tegerbyrd, où avait eu lieu en février dernier la première greffe pénienne réussie au monde, la même équipe de spécialistes aurait été reconstituée la semaine dernière dans la plus grande discrétion pour une greffe très similaire, à une exception près : Cette fois-ci, le patient n’avait subi ni dommage ni ablation de son organe. En parfaite santé, il souhaitait simplement « en avoir un de plus ».

« Quand cet émir a appris que ce type de greffe était désormais possible, il a décidé qu’il en voulait une aussi, peu importe combien ça lui coûterait » confiait à nos confrères du « Daily Bushong » une infirmière sud-africaine de l’hôpital Tegerbyrd qui a souhaité rester anonyme.

Suite à l’intervention chirurgicale d’une dizaine d’heures, le patient a été placé en observation pendant six jours. Toujours d’après la même source, l’opération se serait soldée par « un succès total ». La seule vraie difficulté étant de maintenir l’émir doublement équipé dans sa chambre d’hôpital.

« Il ne tenait pas en place, il voulait tout le temps sortir de l’hôpital, juste pour une nuit il nous disait… On aurait dit un enfant avec un nouveau joujou » raconte l’infirmière, ajoutant plus loin dans les colonnes du « Daily Bushong » que c’est elle qui été chargée de nettoyer les flaques d’urine qui maculaient la salle de bain privative de l’émir. « Déjà que les hommes en mettent toujours un peu à côté avec un seul de ces trucs, vous imaginez avec deux ! » plaisante-t-elle.

L’origine de l’organe greffé demeure inconnue mais d’après les témoignages recueillis, ce dernier « ne correspond ni en couleur, ni en volume, à celui d’origine ». Il aurait coûté à l’émir qatari « plusieurs millions, voire même des dizaines de millions de dollars ».

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Ils pensent tous être de bons coups, mais beaucoup ne valent rien du tout ! C’est en tout cas ce que semble indiquer cette étude, présentée la semaine dernière à la European Sexology and Urology Conference par les chercheurs de l’Institut de Sexologie Appliquée de Tours (ISAT).

Pour arriver à cette conclusion, les scientifiques de l’ISAT ont demandé à 269 hommes et femmes de 18 à 65 ans et en couple d’évaluer la satisfaction sexuelle de leur partenaire, ainsi que leur propre satisfaction, sur une échelle allant de 0 à 100 appelée l’ISSR, ou Indice de Satisfaction Sexuelle Relative.

L’ISSR est une mesure relative, où la valeur 0 correspond à la satisfaction minimale obtenue avec le ou la pire partenaire connue jusque là. La valeur 100 quant à elle correspond au « meilleur coup » que la personne ait expérimenté dans sa vie.

« J’assure un max »

Avec un ISSR moyen de 72/100, les hommes interrogés jugent leur propre satisfaction très bonne, et assez proche de ce qu’ils ont connu de mieux.

« La différence entre moi et la météo des neiges, c’est que quand j’annonce 20cm, ils y sont. »

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« Oui, mon mari me satisfait pleinement » confie Martine

Ils semblent également (très) contents de leurs performances puisque, en moyenne, les hommes interrogés ont estimé la satisfaction qu’ils procurent à leur partenaire féminine à 87/100, soit une satisfaction proche du « top ».

« Une majorité des hommes qui ont participé à l’étude ont tendance à évaluer leurs performances à la manière de sportifs : En termes d’efforts, de technique, de temps passé, de vitesse, etc. » note le Pr. Jacques Bruandet, directeur de l’étude – « Malheureusement, les critères de satisfaction féminins n’ont presque rien à voir avec la notion de sport ou de performance physique, d’où l’importante erreur d’estimation commise par ces messieurs ».

« Alors, heureuse ? » 

De leur côté, les 269 femmes du panel ont estimé la satisfaction sexuelle apportée par leur partenaire à 22 points sur 100 en moyenne, loin, très loin derrière les 87 points anticipés par ces messieurs.

« Il y va comme un bourrin pendant un quart d’heure, il s’écroule tout en sueur et il va boire de l’eau. J’ai l’impression d’être un équipement sportif… »

Selon les chercheurs de l’ISAT, cette insatisfaction féminine pourrait être liée aux critères incompatibles et contradictoires que les femmes utiliseraient pour juger la qualité de l’acte. « Si l’on écoute nos participantes, l’amant idéal devrait être bestialement délicat, audacieusement respectueux, inventivement conventionnel, poliment grossier et virilement raffiné… Une perle rare bien difficile à trouver ! » concluait le Pr Bruandet à l’issue de sa présentation.

Crédit photo : http://www.johncooke.info/

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Nouveau coup dur pour la cigarette électronique. Une nouvelle étude parue hier démontre que cette dernière pourrait être jusqu’à 104 fois plus nocive que le tabac ! Les scientifiques de l’Institut de Recherche Médicale Philip Morris (IRMPM) ont étudié les effets comparés du tabac (fumé) et de la cigarette électronique (mâchée et avalée). Résultat : La cigarette électronique serait immensément plus dangereuse que le tabac.

« La cigarette électronique, loin d’être l’alternative inoffensive et douce qu’imaginent beaucoup de gens, est une vraie saloperie ! » s’indigne Kamel Al Filtr, l’un des auteurs de l’étude – « La batterie ! Rien que mâcher et avaler la batterie d’une cigarette électronique est une aberration au niveau de la santé ! A côté de ça, fumer du bon vieux tabac classique n’a quasiment aucun effet négatif, même si vous en avalez un peu ! ».

Dents cassées, estomac percé, électrocution, coupures, empoisonnements : La liste des dangers de la cigarette électronique (mâchée et avalée) est longue.

Conclusion de l’étude : La cigarette électronique, ingérée ou brûlée, serait jusqu’à 300 fois plus cancérigène que le tabac. A l’opposé, les chercheurs ont également découvert que le vapotage de cigarettes classiques (tirer sur une cigarette éteinte) ne présentait aucun danger.

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Alors que la maladie continue sa progression, favorisée par un climat particulièrement propice à la contagion, il est plus que jamais important d’en comprendre les symptômes et modes de propagation afin de ne pas la contracter. Car si l’amalgamite est facilement évitable, elle est par contre extrêmement difficile à guérir et très contagieuse à long terme.

Symptômes et caractéristiques

  • L’amalgamite touche indifféremment l’homme et la femme;
  • Les personnes âgées sont statistiquement plus exposées au risque;
  • Provoque une forte baisse d’acuité perceptive (des formes ou des couleurs différentes peuvent apparaître comme similaires);
  • Le sujet atteint aura tendance à confondre sa voiture, sa maison ou sa femme (son mari) avec une (un) autre;
  • Baisse globale des capacités cognitives;
  • Dégradation de l’humeur, crises de colère, violence;
  • Réactions allergiques à la nuance;
  • Incapacité à assimiler des idées complexes.

Transmission par les ondes

Contrairement à la plupart des maladies connues, l’amalgamite peine à se propager dans les milieux où se multiplient les contacts et échanges humains.  Il semblerait également que la notion « d’ouverture d’esprit » joue le rôle de « vaccin », empêchant ceux qui en possèdent de contracter ou transmettre la maladie.

Autre spécificité étrange, la maladie serait susceptible de se transmettre via la télévision ou l’Internet. Des sujets sains placés en quarantaines dans des lieux clos munis de télévisions et d’ordinateurs auraient mystérieusement contracté l’amalgamite.

Comment se protéger

Des études épidémiologiques ont montré que l’amalgamite se transmettait de la bouche d’un sujet infecté à l’oreille d’un sujet sain, sans qu’un contact ne soit nécessaire. Par conséquent, si vous vivez ou travaillez avec un sujet infecté, éloignez-vous de lui lorsque sa bouche est ouverte. Si vous êtes forcés de rester à son contact, utilisez des protections auriculaires telles que des boules Quies ou un casque audio.

Si plusieurs personnes sont atteintes dans votre entourage, essayez de les maintenir à l’écart l’une de l’autre. L’amalgamite est une maladie à sur-contamination synergique, c’est-à-dire que les symptômes augmentent lorsque plusieurs malades partagent le même environnement.

TF1 + alcool : Un mélange dangereux

Si vous sentez que vous êtes un sujet à risque, certain comportements sont à éviter :

  • Evitez à tout prix l’alcool (décuple les symptômes)
  • Diminuez au maximum l’exposition à la télévision
  • Évitez tout contact avec des personnes contaminées

Dans des tests cliniques, une diminution drastique des symptômes suite à la consommation de cannabis a été observée, mais nous n’avons pas le droit de recommander un produit illégal, ne le faite pas.

Quoi qu’il arrive, rassurez-vous : Même les individus malades depuis des années sont soignables. On rapporte des cas de guérison miraculeuses où un contact prolongé avec des génomes exotiques lors de voyages aurait permis l’éradication progressive mais totale de la maladie chez des sujets considérés désespérés.

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« Une belle mécanique, ça s’entretient » nous assure Patrick d’une voix rauque et affirmée, « Le gazole ordinaire, ça encrasse tout, je comprends pas que les gens mettent cette saloperie dans leur réservoir !« . La mécanique en question est celle de son Audi A5 « sportback » TDI 200, un « véritable petit bijou » qu’il chérit depuis maintenant 4 ans et qui « tourne toujours comme une horloge ». « Y’a pas de secret » confie Patrick entre deux longues bouffées de Gauloise brune, « Si tu veux que ton moteur dure longtemps, faut y faire gaffe, pas de place pour la négligence ».

Patrick, commercial dans une grande entreprise de services informatiques, parcourt jusqu’à 40 000 kilomètres par an. Pour lui, son véhicule est « le prolongement de son corps ».

« Ça prévient pas ! Un jour t’as une pièce importante qui lâche et c’est tout le moteur qui est foutu ! » s’enflamme Patrick, qui a récemment menti au médecin du travail sur presque toutes les questions de son dernier contrôle médical, minimisant l’ampleur de ses mauvaises habitudes et cachant certains nouveaux symptômes apparus depuis sa dernière visite, telle que l’aggravation de sa toux matinale qui s’accompagne désormais d’une grande quantité de mucus jaunâtre.

« Les gens sont cons, ils voient bien que les performances de leur voiture se dégradent avec le temps, non ? Ça devrait leur mettre la puce à l’oreille, les alerter ? » s’emporte le commercial, qui allume une cigarette pour se calmer. Patrick, qui a de plus en plus essoufflé à chaque fois qu’il grimpe les 2 étages de sa résidence, à tel point qu’il envisage de déménager, ne supporte pas « les mecs qui voient pas que leur conso moyenne augmente » ou « ceux qui le voient mais qui font rien ».

Pour cet inconditionnel de « l’apéro » et des « grosses bouffes », qui a laissé tomber toute activité physique depuis plus de 8 ans au profit du grignotage devant des séries, les gens qui négligent leur véhicule ne s’arrêtent malheureusement pas là : « Ce sont les mêmes abrutis qui ne graissent jamais leur chaîne de vélo, qui foutent des pulls en cachemire dans l’essoreuse ou qui ne défragmentent pas leur disque dur régulièrement !  » enrage-t-il, « Et après ils viennent se plaindre qu’ils sont obligés de racheter ceci ou cela parce que c’est abîmé : Tu m’étonnes que c’est abîmé ! T’as vu ce que tu lui met dans la gueule ?!! ».

« La mécanique c’est délicat. Ça paraît costaud comme ça mais c’est tout un système assez fragile, ou chaque partie a une influence subtile sur presque toutes les autres. Un tuyau d’air ou de liquide bouché ici, un filtre encrassé là-bas, une pièce trop usée, et c’est l’ensemble qui est menacé » pondère l’homme de 43 ans, dont le taux morbide de cholestérol ainsi que l’état déplorable de certaines de ses artères l’empêcheront probablement d’atteindre les 65 ans.

« Enfin bon, les gens sont cons, les gens sont cons, que voulez-vous y faire ?  » interroge-t-il à l’issue de notre rencontre, irrité par l’idée d’une Audi maltraitée et par une quinte de toux retord. « Les gens ne comprennent que quand leur bagnole est chez le garagiste, mais là c’est souvent trop tard ! Elle est bonne pour la casse, et ils sont obligés d’en racheter une autre » conclut-il.